Il faut sauver les soldats du Nord !

(Dessin d'Andréas Rocha)

Hautebrande, dans un petit moulin abandonné et en ruine, aujourd'hui utilisé comme planque par des agents de la Steelwood.

Engoncé dans une large couverture de laine, et portant deux thé bien chaud, un homme encapuchonné vint s'asseoir près d'une silhouette tout autant emmitouflée dans une fourrure de loup. Posant les tasses près d'eux, il lui secoua l'épaule avant de lui glisser l'un des récipients.

"-Debout, Will, ça va être ton tour de garde.
-*baillant amplement* Quelle heure ?
-Quatre heure, environ.
-*bougeon en regardant la nuit noire* Mouais... Du nouveau ?
-Rien. Ca hullule, ça croasse, ça piaille... Mais rien.
-Des nouvelles de David ?
-Pas depuis notre dernière partie, et c'est lui qui a gardé les dés.
-Qu'est-ce qu'il fait mais qu'est-ce qu'il fait ! J'en peux plus de cette saloperie de moulin, je vais devenir bar... T'entends ?"

Les deux collègues se levèrent, fatigués, avant d'avancer mollement près d'un mur éventré du moulin pour y passer un œil furtif. Tandis que Will observait au travers de jumelles sophistiquées, son comparse l'interrogeait.

"-T'as rêvé, vieux. T'étais pas encore sorti de ton rêve.
-Mouais. Me prends pas trop pour un..."

Un sifflement soudain se fit entendre, de plus en plus prononcé. Alors qu'ils comprirent ce qui se passait, ils ne purent que se rendre compte qu'il était déjà trop tard pour sortir.

"CATAPULTE !"

Et, en effet, un énorme boulet de chair et d'os, propulsé par un chariot à viande réprouvé, de s'abattre avec fracas contre le moulin pourtant déjà mal en point qui ne manqua pas de s'effondrer sur les deux pauvres agents de la Steelwood.



Deux mois plus tard, Flinson Steelwood n'avait toujours plus aucune nouvelle en provenance de trois de ses planques situées en Hautebrande.
Le soucis résidait dans les journaux que tenaient chacun de ses employés chargés de la surveillance des mouvements réprouvés dans le cadre des actions des Fils du Nord. S'ils tombaient entre des mains ennemis, ils n'auraient plus qu'à les lire pour détruire plusieurs mois d'observations et d'études de leurs stratégies.
De précieux mois de travail, qui pourraient potentiellement profiter aux Fils.

Seulement voilà : il ne pouvait demander aux agents de ses autres postes avancés de quitter leurs locaux pour aller eux-mêmes vérifier ce qu'il en était, de peur de voir leurs propres planques se faire piller par les réprouvés.

Une seule solution : la Steelwood devait intervenir d'elle-même dans le Nord, à la recherche d'éventuels survivants et de leurs carnets de notes.
Il allait falloir braver les dangers des territoires mort-vivant et passer leurs lignes pour forcer leurs positions et monter un quartier-général duquel il pourrait mobiliser des groupes d'intervention en direction des différents locaux restant sans réponse.
Pour se faire, elle manda le concours de ses confrères des Fils du Nord à participer aux opérations. N'importe quel ressortissant du Nord suivant les actions de ce mouvement, tout comme n'importe quel sympathisant de la cause parviendrait aisément à apprendre qu'une opération se préparait, bien que les dates et horaires de l'intervention ne furent pas évoquées, de peur d'être rapportées par quelques espions.



[HRP]

Bonsoir, mesdames, mesdemoiselles, messieurs !

Dans le but de remettre les royaumes du Nord au goût du jour et de rappeler aux séides de Sylvanas que l'humanité n'a pas abandonné ses terres, les industries Steelwood vous proposent de prendre les armes pour partir botter quelques fesses réprouvées.

Nous vous proposons donc de prendre part à une campagne qui s'annonce flamboyante et promet d'embraser le Nord à grands coups d'artilleries, de mortiers et de zeppelins, pour sauver les agents de la Steelwood perdus au milieu d'un feu nourri et, par la même occasion, déglinguer du réprouvé.

Premier véritable évènement made in Steelwood ouvert au grand public, nous espérons que vous apprécierez ce divertissement et vous espérons nombreux !

Concernant les modalités de participations :

-Ouverte à tous côté alliance, il faut cependant noter que cette campagne est militaire. Attention à ne pas venir avec un personnage trop étranger aux conflits armés, car il faudra se battre.

-Essayez de vous munir d'une raison de participer à ces opérations : bien qu'aucune mort rp ne sera imposée aux joueurs, vos personnages partent, de leur point de vue, pour le combat et risquent donc leur vie.

-Concernant les dates, elles ne sont pas encore fixées. Les premiers évènements devraient avoir lieu début ou mi-juin, et seront annoncés sur ce sujet par la suite.

Comme vous l'aurez constaté, ce message est surtout ici dans un but d'information, car rien n'est encore fait. J'espère qu'il aura susciter votre envie, ou du moins votre attention, et vous promets de vous tenir au courant autant que faire se peut !

Chapitre I : Les lumières de la ville


(Dessin d'Andreas Rocha)

Loin au Nord des royaumes de l'Est, au milieu de tourbes suintantes et perdue au milieu de bourbiers puants, s'élevait autrefois une glorieuse ville qui, si elle n'aurait sût se vanter de sa beauté ou de sa puissance militaire, avait au moins le mérite d'être un point de chute obligatoire pour les voyageurs épuisés joignant Gilnéas et les contreforts de Hautebrande.

Nichée à flanc de colline, elle-même en contrepied d'à-pics et de monts taillés à la serpe, la ville de Walsdif offrait autrefois une havre de paix paresseux, véritable hameau au milieu des marais fangeux alentours et traversée par la seule rivière propre des marécages.
Axée en deux quartiers principaux, tous deux séparés par le fleuve la traversant, la citée, bien que trop insignifiante pour posséder quelque monument que ce soit, s'était développé en un flot incertain de constructions abracadabrantesque et hasardeuses, construites parfois à-même les toits des précédentes bâtisses tout juste construites.
Cerclée des tourbières, les architectes de la ville eurent opté pour une construction très étroite des rues et ruelles, à tel point que les toits étaient parfois si proches qu'une simple enjambée suffisait pour passer d'un bâtiment à un autre.

Aucune puissance militaire, aucune influence politique, et une économie à peine croissante, la ville commençait pourtant à connaitre le sentier de la gloire au moment-même où les réprouvés décidèrent de marcher sur Hautebrande.

Sans plus d'armée fixe qu'une milice urbaine plus composée de paysans que de combattants aguerris, le bourg n'avait pas tenu une soirée, la population ayant en majorité préféré fuir en bravant les marais que d'affronter une mort presque aussi certaine en restant en ville.

Aujourd'hui presqu'en l'état, la ville demeure encore aux mains des réprouvés qui, perdue qu'elle est, ont jugé bon de ne pas y poster une garnison plus important qu'une cinquantaine de troupiers et une vingtaine de cavaliers.

Une position sans importance pour les réprouvés, mais un emplacement de choix pour un débarquement. C'est là qu'il faudrait frapper en premier.
Mais en attendant le grand jour, il fallait préparer le terrain.



[HRP]

Bonjour !

Voici un petit aperçu du premier chapitre qui marquera le début de la campagne et aura lieu en Walsdif, petite ville fictive imaginée pour l'occasion, dans laquelle si la fortune nous sourit nous irons établir un poste-avancé pour ensuite lancer nos opérations !

Mais voilà, si le lieu peut éventuellement être un emplacement de choix pour établir une défense un tant soit peu efficace, encore faut-il que le terrain soit un minimum préparé. Que ce soit organiser un chemin de retraite potentielle ou encore saboter les routes que pourraient emprunter les réprouvés pour venir nous botter les fesses, il est primordial d'aller tâter le terrain et de le préparer en conséquences.

Pour ce faire, nous avons organisés une petite suite d'évènements rapides et ponctuels, ne durant chacun pas plus d'une soirée, qui permettront d'obtenir quelques avantages lors du débarquement. Un seul a été achevé, et les prochains sont ouverts aux intéressés ! En voici un résumé :

Noyez la ville ! (achevé)

Le quartier Sud sera la cible du grand débarquement, mais également le lieu où sera installé le poste-avancé. Il est primordial d'en faciliter au maximum la défense en empêchant au mieux les réprouvés de le rejoindre.

.Effectuer le débarquement : terminé.
.Faire une reconnaissance du terrain : terminé.
.Infiltrer le quartier Sud de la ville : terminé.
.Saboter les écluses et les digues : 1/3

Résultat : une seule écluse a pût être correctement sabotée. La mission ayant été effectuée par une nuit d'orage, le groupe d'intervention a maquillé le méfait comme une malencontreuse frappe de la foudre, attirée par la machinerie.
La rivière n'a qu'à peine quitté son lit, emportant un unique pont parmi les trois reliant les deux quartiers de Walsdif.

Bonus obtenu : deux ponts à défendre au lieu de trois ! (réussite partielle)

A bas la poudrière ! (achevé)

Les réprouvés ont construit une poudrière où est conservé un stock important de munitions et de poudres. Si nous parvenons à prendre le quartier Sud, les réprouvés n'auraient qu'à nous pilonner depuis le quartier Nord pour nous anéantir !

.Infiltrer le quartier Nord.
.Localiser la poudrière.
.Trouver un moyen d'accéder à la poudrière.
.Faire sauter les munitions et le maquiller en accident.

Résultat : Le groupe d'intervention, après avoir rejoint le quartier nord et l'avoir passé au peigne fin en se séparant en deux groupes de recherche, a finalement réussit à débusquer la poudrière et à déclencher l'étincelle qui met le feu au poudre ! Le magasin a tiré sa révérence en emportant avec lui un certains nombres de bâtiments et demeures le jouxtant.

Bonus obtenu : pas de tirs de mortiers et d'arquebuses chez l'ennemi ! (réussite)

Après moi, le déluge.

Deux routes mènent à Walsdif, une filant vers l'Est, en direction du Moulin de Taren, l'autre vers l'Ouest, en direction des Pins argentés.
Nous avons besoin de temps pour éviter la contre-attaque des réprouvés pour effectuer nos recherches ! Il faut retarder leur arrivée au plus tard !

.Inspecter la route Est (quartier Nord)
.Inspecter la route Ouest (quartier Sud)
.Trouver un moyen de couper les routes.

Résultat éventuel :
-route Ouest coupée : réussite automatique en cas de retraite vers le quartier Sud.
-route Est coupée : endiguement de l'assaut sur un front.
-routes Est et Ouest coupées : réussite automatique en cas de fuite + fin de la campagne.

Chacun est libre de participer, et les évènements peuvent se faire à comité réduit en fonction des intéressés. Je posterais d'éventuelles dates sous peu, ou verrais directement en jeu en soirée si certains sont disponibles !

(Les droits de cette œuvre reviennent à son auteur)

Raphaël déposa lourdement ce qui lui semblait être sa dix-millième caisse au pied de la tour des aéronefs. Quand elles ne transportaient pas de nourriture, c'était de la poudre. Et quand ce n'était pas de la poudre, c'était du matériel de soin. Mais le pire, c'était ces foutus boîtes de boulets miniatures.
Probablement pour des espèces de p'tits canons, se disait le jeune débardeur fraichement engagé sur le port. Pour sûr, il se doutait que le travail serait physique, mais à ce point... il ne se posait plus la question sur le pourquoi du comment n'y avait-il que des jeunes gens, à travailler sur les docks.

S'épongeant le front en nage à l'aide d'un chiffon de laine sale et graisseux, le débardeur expira fortement en arquant le buste, une main sur les reins. A ce train-là, il ne ferait pas long feu. Et pourquoi devait-il mettre les bouchées doubles, s'il-vous-plait ? A cause de ce foutu bourge avec ses espèces de binocles en métal, là, qui pétait plus haut que son cul, et qui avait engagé toute la main d’œuvre disponible sur le port pour faire embarquer ces saloperies de caisses.
La "logistique" qu'il disait. Avec cette douleur dans le dos, c'est d'une sciatique que Raphaël allait écoper, là voilà la logistique !

Et puis, il n'y aurait eut que ces foutues caisses... Mais non ! Il avait fallu que ce débile demande à les embarquer sur des zeppelins... DES ZEPPELINS ! Et qui devait se coltiner les dizaines de marches, à chaque fois, pour charger les caisses sur les nefs planant plus haut ? C'était lui, et oui !

"Encore une putain de journée..." pensa t-il en relevant la tête, observant les trois zeppelins de la Steelwood ombrageant le port juste en-dessous.



[Hrp]

Le débarquement est imminent ! Hardi haut, compagnons ! Embarquez vos armes, armures, mais surtout votre courage, car Walsdiff va connaitre un feu d'artifice sans précédent !

Rendez-vous ce lundi 15 juillet, aux alentours de 20h30 sur le quai de Hurlevent où mouille le steamer nain, pour embarquer dans un des zeppelins affrétés par la Steelwood et filer vers les lointains marécages de la région perdue de Walsdiff !

(Oeuvre d'Andréas Rocha)

Un véritable déluge s'abattait ce soir là, n'épargnant qu'à peine les vitres renforcées ceignant la cabine de la Petite Régente, portée par un vent à en faire s'envoler les pierres.

Collé à l'une des fenêtres, le commandant de bord de la Steelwood, une main sur la roue, retira sa casquette d'officier frappée du sigle des industries pour pouvoir regarder plus avant ce flot continu craché par un ciel d'encre à peine éclairé par les lumières de la ville en contrebas.

"-Vol stabilisé m'sieur, les rotors sont ok.
-Le ballon devrait tenir l'coup, mon commandant. Mais vaut mieux pas trop le pousser.
-Préparez-vous à mettre les voiles au premier signe de mouvement. A vos longues-vues."

Les deux machinistes s'exécutèrent, quittant tous deux de leurs besaces de fins cylindres mécaniques et télescopiques au travers desquels ils s'efforcèrent tant bien que mal d'observer la ville sous laquelle leur zeppelin stationnait.
Cela faisait bien cinquante minutes que des bruits de combats leur parvenaient difficilement depuis le lointaine de la place centrale, tant et si bien qu'ils n'y prêtaient plus qu'une oreille, quand ils purent entendre de l'autre une toute autre mélodie.

Au départ discrète, lointaine, furtive, elle allait crescendo, battant de plus en plus fort mais toujours au même rythme.

"-Qu'est-ce ?
-J'vois rien !
-A tribord mon commandant !"

Le commandant Wellington s'approcha en écartant les employés de la fenêtre qu'ils lui indiquaient. Dépliant sa longue-vue, il ne pût qu'apercevoir ce qu'il craignait : la garnison réprouvée s'était mise en marche et traversait les ponts qui n'avaient pas pût être sécurisés à cause du manque d'effectif du groupe d'assaut.

"-Armez les fusées éclairantes.
-Mais commandant, si nous tirons, ils vont nous repérer !
-Avec ce vent, pas moyen d'se tirer avant d'essuyer leurs tirs.
-Et si nous n'avertissons pas la place, ils seront pris en tenaille. Aux fusées.
-Ça nous condamnerait, m'sie-
-C'est un ordre."

Les manouvriers se déportèrent vers les canons, armant les obus éclairants alors que le commandant retira sa casquette en se passe une main le long du visage.
Réaliste, il ne se faisait pas d'illusion sur le débouché de leur action, mais il se posta tout de même à la barre, commençant à mettre les gaz. Le bruit des rotors finirait de toutes façons par attirer les troupes sur le pont en dessous d'eux.

Dans une explosion de lumière, les obus fusèrent vers les cieux et illuminèrent d'une lueur vert prairie le surplomb de Walsdiff. Il ne suffit que de quelques secondes pour que les premiers fracas de carreaux frappant l'aéronef ne se firent entendre.
Le commandant s'efforça de manœuvrer, en vain. Les carreaux percèrent trop rapidement le ballon, lequel commença à s'enflammer. Parachevant l’œuvre, un tir de baliste finit par faire mouche dans un des moteurs latéraux du zeppelin.

Le ballon s'enflamma d'un seul coup, projetant un torrent de flamme horizontale au-dessus du quartier sud, tandis que la nef commença à piquer en diagonal pour finir sa chute non loin de l'entrée sud de Walsdiff, pour ne plus jamais en repartir.


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L'assaut sur Walsdiff avait finalement eut lieu malgré le manque flagrant d'effectif. Le Lieutenant Merath avait convenu avec Flinson Steelwood d'une nouvelle stratégie d'assaut dont tous deux n'avaient pas grand espoir de réussite, mais qui avait le mérite d'assurer une retraite facilitée.

Abandonnant la sécurisation des ponts joignant les quartiers Nord et Sud, car avec si peu de combattants, ils ne pouvaient se risquer de séparer les troupes, ils se concentreraient sur la prise de la place centrale, essayant de prendre les renforts de vitesse.

Un des zeppelins de la Steelwood serait posté au-dessus des ponts pour les avertir de l'arrivée des troupes s'ils n'avaient pas été assez rapides.

Mais le constat final était sans appel : les attaquants n'étaient tout simplement pas assez nombreux. A quinze au meilleur de l'assaut contre une cinquantaine de troupiers ennemis, sans compter les cavaliers et les balistes, les troupes de l'Ost et les mercenaires en présence bataillèrent cependant comme des lions en défaisant l'avant-garde postée sur la place centrale.
L'opération aurait même presque pût réussir si une baliste n'était pas venu les retarder dans leur avancée et ainsi permettre aux renforts d'arriver.

Face au trop grand nombre d'ennemis, les troupes n'eurent d'autre choix que de se replier vers le point d'évacuation déterminé à l'avance.
Sans autre possibilité que de traverser les tourbières alentours, ils débouchèrent finalement à l'orée d'une route, sous couvert de saules pleureurs, mais sur laquelle patrouillaient cinq cavaliers dont un officier réprouvé.

Le combat fut rude et sans merci, mais toute la clique parvint à ne s'en sortir qu'avec des blessures minimes. Sous une pluie toujours plus violente et un vent des plus cinglants, ils parvinrent à rejoindre le Gilnéas Express, lequel les ramena à l'aéroport de Forgefer, d'où un service de transport fut aimablement offert par les nains locaux pour conduire les combattants au sein de la ville.

Finalement, la réactivité des troupes et leur expertise auront permis de limiter l'échec cuisant de la soirée en n'allongeant pas la liste des soldats morts au combat. Liste qui, vu la situation, aurait pût être nettement plus conséquente.

Voici que se clôt la première partie de la campagne !
Sur un échec, certes, mais ce sont les risques du métier. La suite de la campagne se fera donc d'une manière sensiblement différent du fil scénaristique prévu puisque que l'assaut ne disposera pas de point fixe pour s'organiser, mais aura bien lieu !

Merci à tous de votre participation, en espérant que vous vous soyez amusés et divertis, je vous dis à la prochaine fois.

J'en profite pour préciser que le chapitre deux de cette campagne risque fortement d'être différé dans le temps, étant donné mon absence la semaine prochaine et le peu de disponibilité de celle-ci.

Libre à vous également de poster à la suite de ce sujet les réactions de vos personnages ou leurs vues du déroulement de la soirée !i

[Hrp]

Bonjour à toutes et à tous !

Les industries Steelwood vous signalent aimablement que la suite des évènements du Nord est toujours d'actualité.
Nous ne pouvons malheureusement encore donner de date précise -pour cause d'une irl reprenant à grand train- mais la campagne se fera bel et bien.

Au meilleur des cas, il s'agirait d'organiser le prochain évènement dans la semaine du 16 au 22 septembre, et dans le pire des cas, durant la Toussaint.

Nous vous tiendrons au courant !