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Dalaran : une cité en fête : Dans la tête de Merlo Pistoboulon

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Message par Merlo Pistoboulon Sam 11 Mai - 12:55

*Il faut préciser que Merlo ayant abusé de bière, les faits ne sont pas retranscris exactement comme cela s'est passé.*

La nuit tombait paresseusement sur la vieille Dalaran. Le temps commence à s’carabistouiller, se dit Merlo. L’auberge de l’Enclave Argentée, ancien quartier exclusivement Allancieux de la cité des mages, se remplit petit à petit du beau monde présent pour fêter la libération de Dalaran des vilains tout pas beaux, comme le dit notre gnome, un verre de vin dans son nez potelé.
Tout le monde est assez gêné, peu se connaissent… Heureusement, Dame Aurys, voilée de son sublime masque et emberlificotée dans ses béquilles si sexy, annonce que le banquet commence dans la partie « jardin & Loisirs » de l’auberge.
« Des naines pour servir ? Nan mais euh… pourquoi des naines ? » disaient à peu prés les personnes présentes.
« Parce que les naines, ça sert la bière naine. » répondit Merlo, quoique tout le monde se préoccupait déjà de savoir ce qu’il y aurait au buffet.

Une fois tous attablés, notre cher Merlo entre deux velus, Wonleï et Nagar, Dame Aurys, sur ses béquilles perchées, nous tint à peu près ce buffet : cochon grillé à l’orange, soupe de dragon, et banquets pandarens. Oh ! J’oubliais ! De la bière naine, pandarène et du vin Dalaran coulaît à foison. La fête se déroulait lentement, chacun faisait à peu près connaissance avec son voisin pendant que Sir Flinson et Sir Solÿn les zieutaient depuis leur balcon, migeotant des choses pas très en rapport avec la Lumière, sans doute.

« Je vous propose de… AAAAAAAH ! » nous offrit généreusement Sir Lutgardis, après avoir été victime d’un homicide à la neige du Norfendre.
Une pluie de glace tombait sur la table des convives. Dame Aurys et Sir Lutgardis, celui-ci reprenant peu à peu son calme, tentent de les calmer. Cela réussit quand Dame Aurys nous resservit du banquet. Succulent cochon, soi dit en passant. La soirée semblait destiner à rester calme et nos héros à se prélasser dans leur graisse si durement acquise à se régaler de mets les plus délicieux… si notre garde attitré, Bridelion, n’avait pas vu une elfe de sang, selon son physique, nous chouré le gateau.
« … … … … Elle a pris quoi ? » demanda Merlo.
« Le dessert, monsieur. » répondait Bridelion.
« LE GATEAU ? ! DITES MOI QU’IL Y EN A ENCORE ? ! » pria Merlo en se tournant vers Sir Lutgardis.
Le Sir ne répondit pas, ou du moins l’on ne put l’entendre, étant donné le gazouillement d’une elfette de la nuit qui commence à baver une substance verdatre digne d’un limon vint détourner l’attention des convives.

Dame Aurys s’empressa de lancer des artifices, histoire de détourner l’attention, pendant qu’un à un nous nous plaignions de maux de ventre.
« Il se peut… que vous vous êtes fait empoisonner. »nous appris Sir Steelwood, de sa nonchalance habituelle.
Naturellement, grâce à notre intelligence légendaire, nous avons tout de suite compris que c’était l’elfe de sang qui était la cause de ce poison.
Laissant l’honneur à quelques uns des mieux portants d’aller chasser du vilain tout pas beau, les autres s’en allèrent à l’infirmerie tenter d’éradiquer ce mal. Les traces laissées par l’elfe était on n’peut plus clair : elle s’était rendue aux égouts.
Nos héros s’y rendirent, bien décidé à lui rendre la monnaie de sa pièce.
« Rien là-bas ? » demanda Merlo à Flinson, après que celui revienne du marchand de poison.
« Vous pensiez que je cherchez votre elfe ? S’il vous plait. » lui répondit notre cher Mr Steelwood.
Le cri de messire Hadariel, du moins c’est ce que pensait Merlo de par sa forte Aigutité, les amena au tuyau menant directement à l’extérieur de Dalaran ; le vide, si vous préférez. Suivant le parcours que représentaient les habits de Messire Kothran le long de l’égout, ils retrouvèrent rapidement l’elfe, qui se trouvait alors au bord du précipice.
« Un truc à dire pour ta défense ? »lui demande Merlo, qui reçut un geste grossier en guise de réponse.
L’elfe sauta ensuite dans le vide. Après une patrouille par quelques membres de l’ost pourpre, il est révélé que l’elfe n’agissait pas seule, et avait une armée avec elle.
Nos héros se dirigèrent ensuite vers l’infirmerie, pour éradiquer tout risque de maladie. Passèrent en premier Durandill, l’elfe qui bave vert et Samuel Myridan. Vint Ensuite Merlo, qui lâche un :
« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!! »
Dans un magnifique cri après avoir bu son bol de médicament. Constatant, après s’être remis de son cri, que messire Durandill était presque mourru, il analysa la situation et ne vit qu’une solution : la pierre d’âme. Après avoir incanté en Eredun la pose d’une pierre d’âme, il ne restait qu’une solution.
Le baiser, ou la gifle.
Se sentant encore hétérophile dans l’âme, Merlo lui fout une bonne paire de claques, ce qui ne le fit que tressaillir. « Spasmes ou réveil ? » pensa Merlo. Il demada ensuite à Syldonelle, la pyromancienne et à l’elfe qui bave vert si elles pouvaient lui faire un smack comme jamais, mais, malheureusement pour lui, Durandill se réveilla à se moment là, demandant de l’espace.
Suite à une histoire inconnue des malades à cette heure, Sir Hadariel se retrouvadans l’infirmerie, ou commença une dispute sur lequel entre Hadariel et Syldonelle saurait faire le meilleur bûcher.
L’illuminé ou la pyromancienne ? On ne le saura jamais. Toujours est-il que Hadariel traita Syldonelle de felmage, mais Merlo, dans sa grande bonté, se déclara felmage, ce qui est la vérité. Hadariel et Syldonelle ne pensèrent qu’à une chose. HÉRÉTIQUE ! AU BÛCHER !
S’en suivit par une marche à travers Dalaran, qui aboutit, selon des raisons inexplicables, dans l’auberge de l’Enclave Argentée.
Tout les membres de l’événement étaient parti, sauf Merlo, Samuel, Corwin, Flinson, Syldonelle ainsi que Ysgalad. Samuel et Merlo jouaient au dés, tandis que Corwin faisait le chien pour Flinson qui réparait un bijou en saphir et que les deux gonzesses se saoulaient.
« Votre gage, Samuel, sera… d’embrasser un des rouquins. » demande Merlo après avoir gagné une manche.
Samuel, dans son extrême timidité, lui demanda un autre gage.
« Alors embrassez une des femmes. »
Nouveau silence. Cet homme serait-il zoophile ? Toujours est-il qu’à force de perservérance, Merlo finit par obtenir ce qu’il désirait : Samuel se leva.
Merlo en fit de même afin de bien voir.
Samuel saisit rapidement le gnome sous les bras, le soulève, puis l’embrasse avant de le poser.
« … … » ne furent que les réponses du gnome.
« Vous me devez des vêtements, Merlo. » lui dit dans un sourire machiavélique Samuel avant de s’en aller.
Après cela, Merlo alla boire une dizaine de pinte pour se laver la bouche, puis, suite à quelques railleries des femelles, se dirigea vers Ysgalad, sous la surprise lui donna un zoli baiser puis s’approcha des deux rouquins et donna un baiser à un des deux, aussi beau que celui d’Ysiagad. Seul reste un mystère : quel rouquin a-t-il embrassé ?
L’alcool le lui cache. Merlo se dirigea rapidement vers la sortie, de la bave rouquine plein la bouche. Mhhh, delicious !
*La suite raconte comment Merlo est rentré chez lui en draguant une taurène, je ne la transcrirai pas.*
Merlo Pistoboulon
Merlo Pistoboulon

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