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[Dalaran] Quand le banquet tourne au vinaigre !

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Bridelion
Ysgalad
Flinson Steelwood
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[Dalaran] Quand le banquet tourne au vinaigre ! Empty [Dalaran] Quand le banquet tourne au vinaigre !

Message par Flinson Steelwood Dim 12 Mai - 4:26

(Voici donc un sujet ouvert à toutes et à tous, dans lequel les participants à l'évènement "Dalaran, fête de l'indépendance" sont invités à retranscrire les impressions de leurs personnages quant à la fête !
Libre à vous de rédiger vos résumés comme bon vous semble, vos récits peuvent être liés entre eux ou tout simplement indépendants en ne retranscrivant que le ressenti de votre personnage ! Je me propose d'ouvrir le bal avec un Flinson racontant la soirée à son second, Me Delamont, autour d'un earl grey bien mérité.)


Musique

Manoir de Brocebury, val de Syl.
An 33


Plait-il ? Ah oui, la soirée. Pardonnez-moi, j'oubliais. Par où commencer ? C'était assez rocambolesque, pour tout vous avouer. Un sucre, dans votre earl grey ?
*silence* Évidemment. Où en étais-je ? Hum hum. Comme vous le savez, je me suis récemment offert une nouvelle nef aéroportée. Taille standard, revêtements d’apparat et armement de fret, bref. Une merveille à mon image, vous l'aurez compris. J'ai donc décidé d’inaugurer cette petite perle en m'en servant pour me rendre à cette ridicule petite soirée organisée par de toutes aussi risibles petites gens.
Mais que voulez-vous, il faut savoir faire acte de présence.

Haha ! L'image, oui, comme vous dîtes. Parlons-en, de l'image. Je dois vous avouer avoir été bien aise de mon arrivé resplendissante sur l'air de Krasus. A peine le vrombissements du zeppelin se faisait-il entendre qu'une horde d'admirateurs en furie se pressaient sur la piste pour m'accueillir avec des honneurs que je suis légitimement en droit d'attendre.
Et vous me savez le goût des entrées démesurées.

Enfin. Je vous passerais les quelques dédicaces que j'ai consentit à offrir et à l'incontournable portrait pour la gazette que l'on me pris sis devant ma nef. Bref.
L'organisation avait convenu de nous retrouver dans l'ancien quartier de la couronne. Ce à quoi eus-je jugé qu'il ferait bon de faire un détour par les jardins de la citée des mages.
Oh, non pas que j'eusse développé un goût pour la nature, mais Mr. Grayson avait besoin de se dégourdir les pattes.

Sans intérêt, passons à la réception. J'ai toujours ressenti un profond dégout pour Dalaran. La magie, vraiment... N'importe quel être un tant soit peu sensé aura compris que l’intérêt de l'humanité réside aujourd'hui dans la technologie. Enfin.
Je passerais sur la précarité des lieux. Bien que je sois habitué à la petitesse de la noblesse hurleventoise et à la pauvreté de sa bourgeoisie, elles essaient au moins d'être reluisante.
L'auberge de Dalaran, elle... Oh, elle mixe les différentes cultures de l'Alliance. Pour le quota, ou pour l'image, j'imagine. Comment peut-on décemment introduire de l'architecture naine et ce qu'ils osent appeler "technologie" gnome dans un lieu de réception sans faire preuve d'une faute de goût impardonnable ?

Il y avait là mlle Wilkein -que je m'étonnais de croiser- et d'autres têtes que je ne suis pas parvenu à remettre. Hum ? Parce qu'elles ne m'intéressaient pas, pardi.
Oh, si. Il y avait le rejeton von Lutgardis. Eusse-t-il eut pour ascendance quelques tiques pour s'acharner ainsi à s'accrocher, parasite qu'il est, que cela ne m'étonnerait qu'à moitié. Remarquez, lorsque que l'on se penche sur cette famille, la tique passerait pour bien plus méritante que la triste vérité les entourant.

J'avais à peine quitté mon couvre-chef que de Nor Laedro annonçait le début du "banquet". Tristement populaire, à vrai dire. Et comme une fois n'est pas coutume, je décidais de ne pas suivre les consignes pour aller me poster sur un balcon, revivant avec une certaine ironie du sort une scène des plus familières en me tenant sur mon perchoir, à observer l'assemblée de petites gens profitant de mets -si l'on peut décemment appeler cela "met" sans insulter la gastronomie dans son entier-.

Je fus bien vite rejoint par monsieur de Malarme. Mais si, cet altéran. Oh, de la sale race, oui, mais je dois leur avouer cet esprit retors et calculateur qui ne me plait que trop. Nous partagions, comme vous vous en doutez, les plus amicales discussions à propos des invités en contrebas -c'est qu'on ne mélange pas la fleur à la vermine-, alors que madame la connétable de la cloche nous rejoignit.

Et voici qu'elle nous apprend que le repas serait possiblement empoisonné. Quel retournement de situation abracadabrantesque, n'est-il pas ?
Je serais d'un doux euphémisme si je vous avouais que cette situation me fit sourire. Pour tout vous avouer, elle vint avec malice me divertir, tandis que de Malarme et moi-même discutions de l'avenir des possession des futurs morts, tout en prenant les mises sur l'identité du premier invité qui viendrait à succomber.
Car oui, je m'empresse de préciser que, lui comme moi, n'avions touché à quelque plat ou vin que ce soit.

Permettez-moi une ellipse sur une suite sans intérêt : visiblement, une elfe aurait été à l'origine de l'attentat. Je me fit par ailleurs copieusement soupçonné par une espèce de plébéienne grotesque qui m'accusait d'avoir fomenter le complot.
Assurément pas, la rassurais-je. Si j'en avais été l'instigateur, elle n'aurait plus été dans la capacité de me parler à cet instant.

L'elfe fut trouvée, et j'avais fait affrété ma nef pour observer le "duel" la mettant face à quelques-uns des invités depuis une place de choix : en vol stationnaire non loin des égouts donnant sur le ciel.
La pauvre fit une chute grotesque pour disparaitre dans les nuages et aller redécorer le sol plusieurs centaines de mètres plus bas.
Vous auriez entendu ce craquement. Si violent qu'il vint résonner en canon des bruissements métalliques des rotors du zeppelin.
C'était... exquis. Bien que l'on aurait pût trouver une utilisation plus rentable de cette demoiselle que sa mort, aussi spectaculaire et divertissante fusse t-elle. J'ai entendu dire que les tripots et les maisons closes de baie-du-butin recrutaient, avec le belle saison approchant.

Passons. Rentrant à l'air d’atterrissage, je pris le parti d'aller patienter sur un banc en m'armant d'une gazette locale. Ce n'est qu'alors que je remarquai enfin Corwin.
Parfaitement, celui-là même. L'albinos étrangement roux. Vous l'aurez peut-être croisé dans ma bibliothèque.
Peu loquace, étrange, mais qui a jusqu'ici eut le mérite d'être efficace. Si efficace que je l'avais oublié durant toute la première moitié de la soirée.

Plus tard, oh. Rien de bien intéressant, j'en ai peur. Tout le monde fut remis sur pied, personne de blessé, pas un mort à déplorer.
Bref, une soirée de perdue, comme vous en conviendrez.

Hum ? Oh, non. C'est moi qui vous remercie, monsieur Delamont. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser, j'ai un rendez-vous ne pouvant attendre avec mlle la fille du marquis de Charleduc.

*se retournant au pas de la porte* Ah, et j'aurais besoin que vous préveniez la surêté de notre siège ! Qu'ils accordent un laisser-passer au sieur Corwin pour qu'il visite notre salle d'armes !
Au revoir, cher ami !

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Message par Ysgalad Dim 12 Mai - 22:31

Fête de l'indépendance – Ysgalad Wilkein

C'est avec une certaine lassitude que je me suis glissée au sein de l'aubergede l'Enclave Argentée, traînant des pieds, fonçant vers le comptoir. Pour ne pas perdre les bonnes habitudes, je commande un thé extra-sucré, extra-brûlant, mais extra-bon et file m'installer à une table proche de l'entrée, en attendant que la masse d'invités arrive et que la soirée commence vraiment.

En fait, je ne sais pas vraiment ce que je fais là, je n'avais pas envie de venir et puis... Bon. Enfin. Je laisse mon regard se perdre sur la vaste salle et les gens déjà présents. J'en reconnais quelques-uns, ici et là. Le monde commence a pointer son nez petit à petit et moi, toujours sans motivation, je laisse s'échapper le temps à une vitesse effroyable, perdue dans la contemplation du contenu de ma tasse presque vide.

Penché sur moi, tout près de mon oreille et dans mon dos, un homme me salue d'une voix mielleuse avant de s'éloigner rapidement. Je réprime un frisson, d'angoisse ou de joie, je ne sais pas. J'observe en gardant silence, figée, le rouquin qui file à pas de velours à une table non loin de la mienne. Je rage un peu à l'idée de n'avoir pas eu le temps (ou plutôt le courage) de lui répondre plus que d'un simple signe de tête. A vrai dire, Steelwood me chiffone, je ne sais quoi en penser et il le sait, d'ailleurs il en joue par moment.

Dans la foulée et avant bien même que je ne m'en rende compte, dame Aurys de Nor Laedro invite les convives à se rendre dans le jardin, juste derrière l'auberge, pour que le repas commence. C'est à ce moment que je remarque que nous sommes relativement nombreux à avoir fait le déplacement. Ce n'est peut-être pas si mal, après tout. Je me place sur le côté alors que nous sommes gentiment invités à prendre place à table. Quelques-uns s'installent, je me décide non sans mal d'y aller et me place à la première table qui se présente à moi. A ma droite, une Elfe peu bavarde mais très sympathique pour le peu que j'ai conversé avec elle. Je fais bonne figure mais me demande encore une fois ce que je fais là. Je n'aime pas la foule et pourtant, ce soir, je suis servie.

Le banquet ne tarde pas à se mettre en route après un petit discours et c'est étonnée que je me prends la main dans le sac à me resservir, mais juste une fois, promis. Je suis tellement concentrée à mâchonner ma viande et à me demander combien de calories cela me coûte d'être ici que je remarque avec du retard, je l'avoue, ce qui s'en suit : un projectile de givre vient s'abattre sur la table, propulsant un peu de neige sur l'assemblée, rasant de près les convives. Nous avons, je dois dire, quasiment tous le reflexe de lever les yeux au ciel afin d'en trouver la source, mais rien n'y fait. Sans trop d'inquiétude, bien que l'anxiété monte un peu en moi, je délaisse mon plat pour passer à un autre, prise de gourmandise. Quelques temps plus tard, alors que les échangent fusent de partout, mêlés de rires et d'un sentiment de bien être encerclant tout le monde et, tandis ce que je termine mon assiette, l'on porte disparu le dessert, cause d'une femelle à grandes oreilles de la Horde, toussa. Je relève la tête, grimaçante : dessert ? Plus de dessert ? Mais c'est horrible !

Je ne suis pas... dans mon assiette, c'est le cas de le dire. Je tique un peu et j'observe que je ne suis pas la seule : beaucoup sont nauséeux, présentent de la fièvre... Une Elfe s'écroule et bavouille une substance verte et gluante mémorable. La pauvre. Encore une fois lors de cette soirée, je file à l'écart du groupe pour siffler deux ou trois verres avec discrètion, dès fois que le mal qui m'habite s'en aille aussi vite que l'alcool s'évapore de la table. Et bien non, et en plus de ça, la panique me prend lorsque qu'une histoire mêlant la nourriture de ce soir et du poison arrive à mes oreilles. Puis des feux d'artifice, pour nous distraire et échapper à la panique générale. Fabuleux, vraiment ! Pendant que certains complotent sur le balcon, d'autres jouent aux cartes, protestent ou sortent du bâtiment.

Exit le jardin, nous allons tous devant l'auberge, des groupes s'organisent pour fouiller la ville à la recherche de ceux/celles qui ont monté le coup. Bridelion nous informe qu'il a vu une Elfe de Sang rôder prêt d'ici et qu'elle s'est enfuie. C'est donc avec un mal de ventre et le moral dans les chaussettes que nous partons en croisade dans les égouts de cette chère Dalaran, ceux ayant évité les plats contagieux en première ligne.

Après de longues, très longues, extra-longues minutes, maintes questions et quelques (beaucoup) pas plus loin, nous coinçons l'Elfe au bout d'un tunel débouchant sur du vide. Dans le même temps, Kothran arrive sans pantalon. J'arque un sourcil tout en l'observant alors qu'il nous prie de ne faire aucun commentaire. Certes, comme je le comprends. Donc, l'idiote se jette dans le vide pour aller s'étaler et éclabousser les pavés en bas, bien en bas. La chute a dû être tellement lente. Je pouffe un instant mais ne peux réprimer la nausée qui m'accable.

Nous retournons devant le bâtiment et rasemblons les malades, dont je fais partie, pour aller boire un breuvage immonde concocté par l'une des membres de l'Ost. Mon tour arrive trop rapidement à mon goût mais je ne fais pas l'enfant et vide mon bol d'une traite. A défaut d'être excellent, on peut dire que c'est efficace. Bientôt mon malaise me quitte, je discute de choses et d'autres avec le père de ma fille, Merath, qui est vite rappelé à l'ordre par la Connétable de Nor Laedro. Les pourpres s'en vont et il ne reste que très peu de monde, dont Steelwood, accompagné d'un rouquin albinos étrange et qui m'observe comme un chien devant une saucisse, un gnome chiant a la grande gueule, un homme apparement banal et une jeune femme brune que je ne connais pas.

Je fuis, perplexe et suspicieuse, un poil parano (je le conçois), et c'est le mot, sous le regard perçant des deux rouquins, pensant leur échapper au détour d'un coin de rue. En fait, je perds juste du temps, car un quart d'heure après, c'est avec les mêmes personnes que je me retrouve au sein de l'auberge. Les deux rouquins m'inquiètent, alors je leur tourne le dos, je sais, c'est un peu fade comme excuse. Plantée devant le bar à pouffer avec ma nouvelle super-amie, nous rigolons de l'étrangeté du type albinos. Il me regarde, alors je le regarde. Du coup bah, on s'regarde. Il accroche mon regard et me sourit. Je ne sais pas pourquoi, je lui offre un sourire béat et bat des cils comme une adolescente pré-pubère. Je ne me supporte pas dans cet état et je pars avec la jeune femme à une table. Nous chuchotons un temps sur le gnome et l'homme banal jouant une partie de carte, puis un long moment sur Steelwood et son compère. Le temps passe et je m'en vais, toujours suivie de la brunette, d'un pas préssé, yeux rivés sur Corwin. Encore un sourire. Je rage à mort.

Bref, une soirée active et sympathique, pleine de rebondissements, de feux d'artifice, de vomi, de grandes oreilles, de rouquins étranges et d'alcool.

Je souligne, à refaire !
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Message par Bridelion Lun 13 Mai - 8:37

Journal de Bridelion , page 126.


Comme prévu , je revêtis mon armure habituelle de combat , ce qui me prit au moins une bonne vingtaine de minute en absence d'écuyer. Je prit ensuite mon épée , et m'en alla devant la porte de la fameuse auberge ou je devais monter la garde ce soir , une gourde empli d'une boisson inconnue que m'avais refilé un marchand dans la journée.

J'arriva un peu plus tôt que ce que je ne le pensait , mais déjà l'auberge accueillait les premiers invités. Je me posta donc a l'entrée , saluant les nouveaux venus avec un demi sourire , quand , je crut voir devant moi une elfe de sang! Une hallucination ? Je le crus au début , mais quand elle s'approcha un peu plus , je n'eu plus de doute.

Je ne tira pas mon épée par courtoisie envers une dame , même ennemie. Je me disais qu'elle avait sûrement échappé a la purge et qu'elle ne savait pas quoi faire , quand je la vis soudainement disparaître de mon champ de vision! Un effet de cette maudite boisson inconnue? Sûrement , je retourna donc a mon poste.

J'entre aperçu l'elfe de sang quelques autres fois , mais je ne comprenait pas ses intentions , un coup elle ne faisait rien , un coup elle se moquait de moi .

J'entendis Dame Aurys de Nor Laedro invité les convives a se rendre dans la cour intérieur pour entamer le festin. Je regarda une dernière fois la rue , je ne vis rien. J'alla rejoindre le festin. Quand j'arriva , j'entendis un bout du discours de la connétable, puis alla me mettre dans un coin d'où j’apercevais toute la cour. Après que les mets furent servis , je patrouilla par-ci par là , je ne croisa personne a part la connétable dans les cuisines , que je ne prie pas la peine de dérangé. Je retourna a la porte , j'entendis Dame Aurys repartir vers la cour. J'y retourna également , d'en l'espoir de trouver une quelconque assiette libre, quand j'aperçu l'elfe de sang de tout a l'heure , comment était-elle entrée? Je ne le savais pas, je dégaina , m'approcha , et ce qui me semblait être de la glace fonça droit sur les invités...

Je m'approcha encore , dans l'idée de la plaquer contre le mur et de lui mettre l'épée sous la gorge pour anéantir toute idée de fuite quand je la vis partir a dos de... Dragon. Je resta là , sans bouger , personne ne semblait avoir remarqué la présence de l'elfe a part peut être Dame Aurys qui faisait le tour des tables. Je courut a la porte dans l'espoir d'y retrouver l'elfe.

C'est alors que , a ma grande surprise , une elfe de sang passa a coté de moi en courant vers l'extérieur! Je dégaina d'instinct et m’apprêtais a la poursuivre quand je me souvins subitement que je portai mon armure , qui pesait plutôt lourde pour une armure de maille.

Je rentra donc et me dirigea vers la cour. En y arrivant , je me porta a la hauteur de la connétable , et dit a voix haute ce que je venais de voir, me rendant compte après coup que les tables proches m'avait sûrement entendu... Les quelques convives ayant eu vent de la nouvelle semblait plutôt excité a l'idée qu'une elfe de sang se baladait ici... Mais quand Dame Aurys et moi avons fouillée la cuisine , on y trouva une fiole vide a coté des mets et boissons , tout de suite , l'idée de poison nous vinrent. J'alla dans la cour tenter d'empêcher toute personne de sortir tandis que Dame Aurys rejoignit des hommes que je n'avait encore jamais vu sur le balcon surplombant la cour.

Je me retrouva a escorter un worgen malade pour qu'il aille régurgiter son repas ailleurs que dans l'auberge , le ramena dans la cour en demandant a tout le monde de bien vouloir rester ici. A priori , Dame Aurys avait révélé la nature de nombres de douleurs parmi les convives. Je monta la rejoindre elle et les quelques hommes qui y était pour recevoir de nouveaux ordres.
Je dut faire venir tout le monde a l'entrée de l'auberge , leur décrire lamentablement l'elfe qu'il avait vu passer en courant... Enfin bref, je me dirigea vers les égouts.

Les recherches furent laborieuses pour moi , mes jambières en maille laissait passer la moindre goûte d'eau , sans oublier le rat qui se faufila dans mes bottes ... Enfin , après ces quelques péripéties dont je ne ferai pas part dans cette page, je retrouva les autres au bord des égouts , l'elfe entre le vide et eux. J'entendis le gnome dire quelque chose , mais l'elfe sauta, je me précipita au bord , pas de doute , plus là. Je crut un instant que nous avions perdu le seul moyen de guérir nos malades... Je remonta en même temps que les autres , des potions furent fabriquées , distribuées, et cela sembla avoir de l'effet.

Je patrouilla encore un peu dans l'espoir de retrouver la première elfe que j'avais vu en début de soirée. J'abandonna finalement et me dirigea vers l'auberge dans l'espoir d'y trouver de quoi manger , mais ce maudit oiseau qui me servait de messager ce crasha encore une fois devant moi , dans la fontaine ... Je le sortit de là et regarda le message a moitié trempé , provenant du fort des chevaliers , tiens , encore un soi-disant vol d'armes...
Je prit le maudit oiseau dans mes mains et l'envoya a Forgefer sans message , tandis que je me dirigea vers le portail pour Hurlevent, apprenant de la part d'un citoyen que la connétable était reparti avec l'Ost Pourpre , dommage , je n'eut pas l'occasion de lui dire au revoir...

En arrivant a Forgefer , on recompta les armes , et , par un pur hasard était toutes là ... Comme a chaque fois que je demandais un inventaire des lieux a ce nain soûl ...

Je vaqua ensuite a mes affaires personnelles tout en repensant a l'elfe de sang que j'avais vu devant la porte ... Étrangement , je me demandais si elle avait quitter la cité a dos de dragon ou non...

Je pense avoir tout dit à propos de cette journée que je vécu comme une des pires de ma vie.


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[Dalaran] Quand le banquet tourne au vinaigre ! Empty Re: [Dalaran] Quand le banquet tourne au vinaigre !

Message par Corwin Mer 15 Mai - 22:46

« Nous sommes perdus. Nous ne savons pas qui nous sommes, ni quelle est notre place. Nous errons dans les ténèbres. »

J’observe. Je vois. Ils mangent. Sont-ils tous installés ? Ils se repaissent comme une horde de hyènes faméliques sur un cadavre déjà putréfié. L’un rit à la plaisanterie de l’autre. Le tranchant de la griffe de la méfiance et de la haine affleure sous le tissu rapiécé et élimé de leurs relations. Cette ville me déplaît, nous sommes des oiseaux emprisonnés dans une cage brillante flottant à des milliers de pied de haut. Nous détestons cela. Je raconte.

Je déteste les zeppelins. Je déteste voler. Et je hais cette ville. Tout y est méprisable. Alors je me tiens en retrait. J’attends, je compte les secondes qui filent. Les pulsations de la Magie.
Nous les voyons cependant. Ils commencent à s’agiter. A régurgiter tripes et boyaux, comme après une mauvaise expérience. Leurs cris percent mes cieux. Tourne le regard vers eux. Ils sont physiologiquement faibles.

Maintenant, ils se lèvent et courent. Le principal, lui, est au balcon, et n’a rien mangé. Il resplendit. Certaines têtes se tournent vers lui et l’accusent. Quoi, comment osent-ils ? Le principal n’empoisonne pas. Le principal est supérieur à ces considérations d’une base moutonne.

Suivons-les. Ou ne les suivons pas, prenons la température, observons la suite de l’expérimentation. Déjà, ils se divisent en deux groupes actifs, ou plus ou moins, le plus grand de ces groupes s’immobilise en léthargie agonale.

Ils chassent une elfe. Rien d’intéressant là-dessous. Je finis par retrouver Flinson et son chien, confortablement installés sur l’un des bancs de cette ignoble agglomération. Ah, il me voit enfin. Il se lève et je lui emboîte le pas, jusqu’à l’infirmerie. Il discute avec des invités. Certains des regards sont posés sur moi.

Nous ne sommes pas l’empoisonneur, mais ils y songent. Car nous n’avons pas été visibles au début. Nous nous cachions. Leurs yeux cachent la connaissance de leurs esprits. Quel goût aurait-elle ? Ils vivront en moi. Nous ne serons plus seuls.

Ils sont élégants, surtout mlle Wilkein, comme se plaît à l’appeler Steelwood. Je l’étudie avec intensité. Elle prend peur et s’envole. Il prend congé. Je ne dis rien, et le suit. La magicienne l’aborde au coin de la rue et l’apostrophe. Observons-la, elle aussi. Le principal se fait fort de la remettre à sa place, elle et ses accusations. Je pourrais la réprimander à mon tour si … On s’en va déjà ?

Steelwood décide de se poser dans la taverne vide et de réparer une breloque. Les deux premières femmes mentionnées s’y retrouvent également, avec le gnome de la Veillée et l’homme bronzé et son histoire de bagarre de taverne. En déclencher une ? Inconvenant devant le principal. Elles complotent contre nous. Elles rient de ce que nous sommes. L’homme se lève, et embrasse le gnome. Il sort. Le gnome embrasse à son tour l’une des deux femmes et Steelwood, qui esquive.

Il se lève enfin. Nous quittons enfin ce lieu ! Même si le chemin du retour passe par le zeppelin, nous rentrons. Nous voulons dormir. Nous voulons lire. Nous voulons oublier.
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Message par Aurys de Nor Laedro Jeu 16 Mai - 8:38

Satanée Jaina. En plus d'être incompétente et bipolaire, tu pousses le mépris jusqu'à ne pas venir aux banquets que tu organises ? Tu te dis sans doute que tu as trop à faire pour te mêler aux plus humbles qui, pourtant, sont réunis pour fêter TA victoire. Et tu laisses à d'autres que toi le soin de glorifier tes actes héroïques. Si seulement Garrosh t'avais eue toi plutôt que Rhonin...

Ces propos, Aurys les murmurait sous son masque tandis qu'elle supervisait la bonne tenue du banquet. On lui avait demandé de mettre la main à la pâte pour l'organisation de ce dernier : dans un premier temps, elle avait refusé. Une lettre de Jaina était aussitôt arrivée, l'exhortant, au nom d'un lointain passé, à faire au mieux pour que la fête soit belle. Evidemment, la lettre n'avait pas été écrite par la nouvelle dirigeante du Kirin Tor : un gratte-papier insignifiant l'avait rédigée, et c'était à peine si la magicienne l'avait signée. Les relations avec l'Alliance étaient tendues ces derniers temps, depuis que l'Ost Pourpre avait quitté la Pandarie pour retourner en sa Garnison. Mieux valait se faire oublier, de préférence en gagnant les bonnes grâces d'une femme qui, selon les rumeurs, avait l'oreille du roi.

Et c'est ainsi que la Connétable se retrouvait à officier dans une soirée qu'elle aurait aimée voir combative, marquée du sceau du retour de Dalaran dans l'orbite de l'Alliance, cette vieille Alliance qu'elle avait fondée à l'époque aux côtés de royaumes aux noms prestigieux et qu'elle avait quitté un temps pour cause de neutralité. Finalement, Aurys ne regrettait pas Rhonin. Ce pacifiste mielleux avait bien mérité son sort. Mais ses aspirations avaient vite tourné court : le banquet ne rassemblait pas vraiment des patriotes extatiques prêts à en découdre. Au contraire, on aurait plutôt dit qu'il avait agi comme un phare pour tous les pique-assiettes qui pouvaient se trouver en cette heure dans la cité flottante, et les discussions qui montaient des tables n'avaient rien à voir avec les discours enflammés auxquels on aurait pu s'attendre. Un brin désemparée, se demandant ce qu'elle pouvait bien faire là, Aurys s'écarta du groupe pour gagner les terrasses, où elle retrouva Flinson et Solÿn, deux spécialistes de la messe basse.

Elle en était là de ses réflexions quand Bridelion - un brave garçon, un peu lent, mais volontaire - s'approcha tout ébouriffé. Outre les tentatives déplacées d'une magicienne sans doute avinée de faire capoter le banquet en faisant choir quelques glaçons malvenus sur les tables, il avait observé la sortie furtive d'une elfe des cuisines. Enquête devait donc être menée. Et elle le fut.

La conclusion ne fut pas vraiment pour ravir la Connétable : du poison avait été mélangé aux épices.

Pour éviter la panique, Aurys choisit dans un premier temps de ne rien dire, laissant Bridelion partir à la recherche de la coupable pour lui soutirer le nom du produit utilisé. Mais, les malaises se succédant, elle fut contrainte d'avouer la vérité, invitant les plus mal en point à se rendre à l'hôpital de la ville, laissant les autres se charger de la recherche de la terroriste.

C'est ainsi que, maudissant cent fois le nom de la parricide, elle accompagna les victimes du poison au dispensaire pour les laisser entre les mains des médecins. Médecins qui avouèrent comme de coutume leur impuissance : il fallut attendre la venue du chevalier Saewelune pour qu'enfin solution soit trouvée. En analysant le repas, la runique put préparer un anti-poison efficace, qui fut distribué aux convives. Et ce ne fut pas inutile, car la recherche de la coupable se solda par un retentissant naufrage - s'il est permis de s'exprimer ainsi au sujet du vol plané dont elle fut le triste héros.

La fin de soirée fut à l'avenant, avec qui plus est la honte de voir son propre écuyer, l'altéran Solÿn de Malarme, se montrer d'une veulerie à toute épreuve, incapable d'arrêter une femme désarmée et prêt à toutes les bassesses pour masquer son échec. Le temps est sans doute venu de recadrer ce mauvais sang, avant qu'il ne tourne encore plus mal comme tous ceux de sa race.
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Message par Samuel Myridan Jeu 16 Mai - 15:33

"Bon, ça fait plus de six mois que je reste éloigné de tout rassemblement dans le doute. Il serait peut-être temps de sortir et de voir du monde, non ?"

Brillante idée, Sam. T'as failli y passer pour ces conneries. Sans rire, qu'est-ce qui pouvait bien arriver durant un banquet ? Je veux dire, hormis arriver à la bourre, se recevoir des glaçons sur la gueule et finir empoisonné ? C'est pas comme si j'avais failli louper la bouffe en plus. Il aurait suffi de quoi, un quart d'heure à peine ? Mais non, j'arrive sur la fin du repas, je prends une part de tarte et hop, réglé.

Et puis bon, évidemment, j'ai pas pensé un seul instant à ramener, je ne sais pas, moi, une dague, pour le cas où. Va faire la chasse à l'elfe avec tes poings quand le poison t'affaiblit à longueur de temps, je me suis contenté de rester là, à côté de l'infirmerie, à essayer tant bien que mal de distraire les autres avec une partie de dés pendant que je faisais mon possible pour pas me laisser aller. Faut croire que les gens n'aiment plus tant que ça les parties de dés. Qu'est-ce que j'en sais, le monde a changé en un an et demi. Note que j'ai une partie en attente, il faudra que j'aille la réclamer un jour ou l'autre.

Enfin, au moins y avait-il une alchimiste un tant soit peu compétente qui nous a sorti du pétrin, vu que l'elfe s'était offert un vol plané. Bon, les gens étaient secoués après l'évènement et peu sont restés dans le coin - et soyons honnêtes, sans doute pas les plus festifs d'entre eux. C'est compréhensible, après tout. Je ne me suis pas attardé moi-même, entre la fatigue et ce gnome qui voulait me faire embrasser la totalité de la ville, que j'ai fini par calmer d'un fougueux baiser - chose que j'éviterai à l'avenir, au moins avec leur gente masculine.

Il faudrait que je me fasse des amis par là. Refasse, peut-être ? Ma foi, si j'avais eu le moindre ami durant cette obscure année, il serait sûrement passé me voir. Ce n'est pas faute d'avoir attendu.

Au moins les asociaux vivent-ils plus longtemps.

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Message par Augustus V. Lutgardis Jeu 16 Mai - 20:25

+musique+


Rapport d'activités de la nuit du 10 mai à l'attention de la Chambellan de l'Ost Pourpre
Ecrit et scellé à la Garnison du Ruisseau de l'Ouest,
Par l'Ecuyer Augustus von Lutgardis.


La ville toute entière était en émois, soulagée mais encore secouée mais par la soudaine purge des ressortissants de la Horde et des Saccage-Soleil. C'était donc non sans surprise que je trouvais à mon arrivée des personnes aux occupations pressées, comme si la fin de la journée et le repos était leur seul échappatoire à leur état émotionnel. Le seul commerce qui allait bien supporter sa soirée sera sans aucun doute la taverne de la Chope des Héros; située dans l'Enclave Argentée. C'est ici que la fête de l'indépendance allait se dérouler, et en tout bien tout honneur je m'y suis présenté. Des individus de tout horizons s'étaient ainsi présentés autour de la tablée, impatient que l'on leur serve les mets de la plus preste manière qu'il se doit. J'avais pour ma part affaire à l’écuyer Edenholme qui me réclamait de mes nouvelles depuis que nous nous sommes perdus de vue au Territoire du Lion, loin de là à Krasarang. Alors que les souvenirs de la guerre et les bonnes manières furent échangés, les plats furent servis sous la direction de Dame Aurys de Nor Laedro.

Le dîner qui s'en suivit fut succulent et pour preuve, toutes les personnes attablées ou presque se servirent au moins deux fois dans les plats. Ceci dit il était à noter que des événements d'origine arcanique vinrent perturber la mastication générale. Des éclairs de givres avaient effectivement frappés la table à plusieurs reprises, ainsi que plus tard la formation d'un blizzard dans le fond de la cour. Les gardes furent sommés de chercher ce qu'il se tramait et qui était derrière tout ça, alors que la Connétable disparut en cuisine, me laissant enfin apercevoir Flinson Steelwood sur un balcon surplombant la cour dans laquelle les festivités avaient lieue. Le personnage rentrait donc dans l'équation, par simple mesure de précaution. Autour de la table on parlait d'elfes de sang encore en liberté, et d'autres spéculaient volontiers sur l'incapacité des mages de la ville à contrôler le temps au-dessus de Dalaran. Méfiant, j'optais volontiers pour la première option, mais sans en montrer signe.

L'on criait ensuite au crime. Plusieurs courageux s'étaient rués pour savoir ce qu'il en était, et la Connétable fut bientôt de retour pour annoncer le désastre : le gâteau avait été dérobé. Mais les nouvelles allant de fil en aiguille, plusieurs personnes à table ressentaient des ballonnements, une envie de restituer ou alors une forte fièvre. Dans mon cas, j'étais également fiévreux et mes jambes flageolaient. La Connétable me commanda donc de garder l'assemblée au calme pendant qu'elle tire au clair cette affaire.

Le ton monte autour de la table, les personnes perdent un petit peu de leur sang-froid, accusant le fromage, puis la viande, puis le vin. Mais quand la cruelle annonce au balcon fut annoncée, alors que Lyranys venait de s'évanouir, personne n'y crut. Le repas avait été empoisonné par des elfes de sangs, selon la description qu'avait fait un garde de ce qu'il avait pu témoigner. Les recherches se mirent rapidement en marche, et c'est ainsi qu'en compagnie de Ser Saer et du Lieutenant Merath je m'enfonçais dans les entrailles des égouts de la cité des mages. Un autre groupes, avec les plus malades, avait été constitués pour partir à l'infirmerie de la ville.

Clapotis poisseux de l'eau et odeurs vomitives à part, la recherche fut infructueuse pendant une bonne dizaine de minutes, avant que l'Ecuyer de Malarme ne crie au voleur près du Caboulot des Corbeaux. Et c'est là que je vit la fautive : une elfe de sang qui se jette au travers d'un conduit, large boyau des égouts en pente raide. Tout le monde se met à sa poursuite une fois la direction indiquée, et arrivés en bas, ce sont quelques kilomètres de vide qui nous séparaient du sol. Alors que nous tenions bon sur la pierre glissante et humide, l'elfe crut bon de sauter afin d'échapper à nos questions. A peine avions-nous eu le temps de réaliser qu'elle n'était déjà plus qu'un tas de chairs informes au sol. Le Lieutenant Merath déployant un artifice d'ingénierie pour la rejoindre, je me décidais de me rendre en toute hâte sur l'Aire de Krasus afin d'y emprunter un griffon.

En bas, je retrouvais le Lieutenant (dépossédé de son armure suite à une chute dans l'eau plus tôt dans les égouts) qui n'avait réussit à extirper du tas de viande sanglante qu'une épée cassée, un morceau de papier illisible et des morceaux de fiole brisée. Remontant à l'aide de la monture dûment rendue à son propriétaire une fois revenus en ville, nous nous sommes hâtés d'apporter la nouvelle à l'infirmerie. Entre mystère et scandale, tout le monde s'amusait à échafauder un alibi ou une raison pour ce crime odieux. Pour ma part, ma principale préoccupation résidait dans nos intérêts : ainsi j'ai eu l'autorisation de la Connétable d'aller déposer une plainte à la Chope des Héros, pour manquement au devoir de protection de la clientèle.

(Vous trouverez le dossier ci-joint à faire contre-signer par Sire Dourentée et la Connétable)


Fin du rapport.
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